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Optimiser, c’est oui.

Optimiser ses campagnes numériques avec 6 éléments clés

En lançant une campagne numérique, c’est important de prévoir du temps d’optimisation. Quand on dit « temps d’optimisation », ça ne veut pas dire qu’on prend le temps d’être optimiste face à la réussite de la campagne… bien que dans les faits, on EST optimiste quant à la réussite de la campagne, mais ça c’est parce qu’on agit sur certains éléments pour atteindre les objectifs établis. On optimise. Et on optimise quoi au juste ? Six éléments clés. Les voici.

Le budget

Selon les besoins, on modifie la répartition des budgets pour placer là où c’est réellement payant. Une offensive numérique comporte généralement plusieurs campagnes qui véhiculent le même message, mais différemment. L’idée est donc d’attribuer un plus grand budget aux campagnes les plus performantes, quitte à en arrêter d’autres.

Le ciblage

Le ciblage combine audience(s) et zone(s) géographique(s). À qui veut-on s’adresser ? On pourra décider d’élargir ou de restreindre le ciblage en ajoutant ou retirant des zones, des audiences ou encore des tranches d’âge pour mieux rejoindre notre cible, si les paramètres initiaux ne sont pas suffisamment performants.

Les annonces/les publicités

Les annonces, que ce soit des bannières, du texte ou de la vidéo, n’obtiennent pas toujours les résultats escomptés. Quand c’est le cas, on fait le choix de les mettre sur pause ou de les modifier pour ajuster le tir. Il est aussi possible de fournir plusieurs créatifs, puis laisser les plateformes déterminer les plus performantes pour se concentrer sur celles-ci (merci le machine learning).

Le placement

Le placement correspond à l’endroit où l’on diffuse notre campagne. Le fil d’actualité Facebook, les stories Instagram, Google, Tik Tok, name it!  Si, par exemple, on constate que TikTok ne marche pas du tout, alors que Facebook performe très bien, on procède à une redistribution du budget tels des Robin des bois de la pub.

Les mots-clés

Sur le réseau de recherche, on trie les requêtes qui déclenchent l’affichage des annonces. Par exemple, dans une campagne générique, on voudra exclure les termes pour lesquels notre marque performe déjà. Ce serait un p’tit peu jeter des sous par les fenêtres que de payer pour de l’affichage acquis.

Les enchères

Il est possible de limiter les enchères à différents niveaux : campagne, ensemble de publicités, audiences, zones géographiques, etc. On pourrait, par exemple, configurer un maximum de 6 $ du clic à Montréal et 3,5 $ du clic à Québec. Si l’enchère de haut de page est fixée à 5 $ à Québec, on ne pourra pas s’y afficher. C’est le principe des enchères quoi. Une fois, deux fois, trois fois… optimisé !

En somme, on part avec une stratégie, mais on s’adapte surtout à la réalité du terrain. Un peu comme partir à l’aventure, mais su’l web.

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